Une abeille sauvage pollinise du chou sauvage. | Photo: màd

Une étude de terrain, menée par l’Université de Zurich en Italie, a montré que le chou sauvage peut s’adapter aux insectes pollinisateurs locaux. Cela se produit probablement par la variation des gènes qui déterminent la composition du nectar et des odeurs. Il serait important de pouvoir conserver cette capacité chez les plantes cultivées, estime la première autrice Léa Frachon.

L. Frachon et al.: Putative signals of generalist plant species adaptation to local pollinator communities and abiotic factors. Molecular Biology and Evolution (2023)