La grande centrale solaire dans le désert du Nevada a été conçue pour produire de l’électricité même pendant la nuit. | Photo: Jamey Stillings

Pour préserver la grotte de glace chère aux touristes, des parties du glacier du Rhône sont recouvertes en été. | Photo: Klaus Thymann

Une fois adultes, ces petits conifères devraient fixer beaucoup de carbone sous forme de bois et d’aiguilles, améliorant ainsi le bilan CO2 de l’Islande. Ils serviront aussi à lutter contre l’érosion des sols. Comme la majorité des essences, originaires d’Alaska, sont interdites d’importation, elles sont cultivées sur l’île elle-même. | Photo: Josh Haner

Une guerre perdue d’avance? La grotte de glace est sculptée dans le glacier du Rhône depuis 150 ans. A l’aide de bâches blanches en polyester non tissé, la famille Carlen, qui exploite l’hôtel Belvédère situé à proximité, mais fermé actuellement, tente de réfléchir les rayons du soleil afin de ralentir la fonte de l’attraction touristique. | Photo: Ørjan F. Ellingvåg

Au cœur de la vallée de la Mort, dans le Nevada, des miroirs disposés en cercle capturent la lumière du soleil et la dirigent vers la tour centrale pour y chauffer du sel fondu. Stocké sous terre, ce sel permet de produire de l’électricité 24 heures sur 24 grâce à une turbine à vapeur. Le Crescent Dunes Project a toutefois manqué son objectif de 110 MW de puissance – un peu plus d’un quart de celle de l’ancienne centrale nucléaire de Mühleberg. L’usine a été arrêtée en 2019, après un peu plus de trois ans d’exploitation. | Photo: Jamey Stillings

Les nuages de fœhn au-dessus d’Ormont-Dessous (VD) semblent avoir été créés par l’homme, alors qu’ils sont tout à fait naturels. Il existe cependant divers projets visant à produire des nuages artificiels au-dessus de la mer pour refroidir le climat. L’idée est toutefois très controversée. | Photo: Pierre-Yves Massot

Les micro-algues (Chlorella vulgaris) dans ce bassin près de Poitiers (F) produisent du carburant renouvelable. Des déchets ménagers sont compostés et produisent du méthane, brûlé ensuite pour obtenir de l'électricité. Le CO2 alors dégagé est pompé dans le bassin (processus visible sur la photo) pour stimuler à son tour la croissance des algues, ensuite récoltées et transformées en biocarburant. | Photo: Pascal Goetgheluck

Bon nombre de personnes pensent que les éoliennes qui envahissent le paysage, comme ici dans le parc de Randowhöhe, en Allemagne (Brandebourg) sont inesthétiques. Selon l’Office fédéral de l’énergie allemand, la force éolienne est néanmoins indispensable pour produire de l’énergie renouvelable en hiver. Sa part dans la production d’électricité doit passer de 0,2 à 7% d’ici à 2050. Au Danemark, elle a déjà atteint 50%. | Photo: Janis Chavakis